Médiation en entreprise
- Émergence et enlisement d’un conflit entre collaborateurs, avec un manager, au sein d’une équipe…
- Conflits qui pourraient inonder les collectifs de travail ainsi que le travail des instances CSE, CCHSCT…
- Entrainant des dégradations du climat social …
- Laissant présager une issue en contentieux, une préparation de « dossiers »…
La médiation s’avère constituer une option économique en coût, en temps et en investissement car rapide et aisée à mettre en œuvre, avant toute démarche en contentieux juridique. C’est « un processus structuré, par lequel deux ou plusieurs parties tentent de parvenir à un accord en vue de la résolution amiable de leurs différends, avec l’aide d’un tiers, le médiateur, choisi par elles.»
Elle protège l’entreprise de risques importants pouvant conduire à :
La médiation est conduite par un médiateur professionnel, qui crée et assure un cadre de travail permettant aux parties-prenantes du conflit et à l’entourage, d’établir des nouveaux modes de communication et de fonctionnement communs et partagés pour se remettre à travailler ensemble en bonne intelligence. Nos médiateurs certifiés sont en mesure de conduire des interventions de médiation au sein de votre structure dans le respect des personnes et des règles qui encadrent ce type d'intervention.
Elle protège l’entreprise de risques importants pouvant conduire à :
- Générer du stress et de la souffrance au travail,
- Porter atteinte au bon fonctionnement de l’entreprise en absorbant l’énergie productrice
- Empêcher les personnes de travailler les unes avec les autres en bonne intelligence
- Générer des comportements nuisibles et contre-productifs
- Scinder les groupes autour de « clans », générer des processus de bouc émissaire, freiner la collaboration utile entre deux services…
- Aboutir à de l’absentéisme, à de la méfiance, voire à de la défiance, à la perte de compétences et au départ de ressources.
La médiation est conduite par un médiateur professionnel, qui crée et assure un cadre de travail permettant aux parties-prenantes du conflit et à l’entourage, d’établir des nouveaux modes de communication et de fonctionnement communs et partagés pour se remettre à travailler ensemble en bonne intelligence. Nos médiateurs certifiés sont en mesure de conduire des interventions de médiation au sein de votre structure dans le respect des personnes et des règles qui encadrent ce type d'intervention.
Qualités d'intervention
Cette intervention repose sur :
- La neutralité du médiateur : il doit être dégagé des intérêts de chacune des parties prenantes ainsi qu’au regard de leur entreprise.
- L’impartialité du médiateur : il ne prend parti pour aucune des parties prenantes. Il ne donne ni avis ni solutions, il ne fournit ni diagnostic ni analyse (il n’est pas dans une posture de coach)
- L’adhésion libre des parties-prenantes du conflit à la démarche, sur la base de règles et de principes qui sont connus de tous
- La confidentialité par rapport à la totalité de la procédure de médiation, des propos tenus par les uns et par les autres, des documents communiqués etc…
- Principe qui doit être respecté par chacune des parties.
Déroulement Type
Cadrage de l’intervention du médiateur avec le commanditaire, représentant de l’entreprise extérieur au conflit : récolte d’informations contextuelles, vérification de la pertinence de la médiation, définition des règles de fonctionnement et organisation de l’intervention. (Contrat tripartite)
- Premiers entretiens avec les parties-prenantes. L’objectif est de clarifier leur vision du déroulement des faits et d’obtenir leur adhésion à la démarche en acceptant le principe de la responsabilité partagée, qui est l’élément constituant de tout conflit.
- Deux réunions collectives avec les professionnels concernés, pour :
- S’exprimer de façon constructive, en identifiant les biais cognitifs, les interprétations, les suppositions et d’autres éléments irrationnels
- Identifier des solutions en termes de modes de fonctionnement et de communication et définir un plan d’actions à mener
- Réunion de bilan avec le commanditaire pour lui faire part de l’issue de la démarche, dans le respect de la confidentialité des échanges
- Suivi des actions mises en place à travers une réunion avec les parties-prenantes, à 3 ou 6 mois.
Intervenants
- K. BRAGUE – médiatrice certifiée - Institut Français de Médiation
- DESS Administration et gestion de l’emploi , Paris 1 – Panthéon-Sorbonne
- DEA en Sciences Sociales, Paris 4 – Sorbonne
- Master en Sociologie, Université Eötvös Lóránt Tudományegyetem, Institut de Sociologie, Budapest, Hongrie
- Claude LESAFFRE, médiatrice en entreprise, analyste transactionnel certifiée CTA-O
- Jacques MOREAU, médiateur en entreprise, analyste transactionnel certifié CTA-O (TSTA)
Médiation et juridique
L'ordonnance n°2011-1540 du 16 novembre 2011
Prise en application de la loi du 17 mai 2011 de simplification et d’amélioration de la qualité du droit, elle transpose une directive du Parlement européen et du Conseil du 21 mai 2008.
Ce texte définit la médiation comme tout processus structuré par laquelle deux ou plusieurs parties tentent de parvenir à un accord, en vue de la résolution amiable de leurs différends, avec l'aide d'un tiers. Les parties sont donc libres de déterminer, en accord avec le médiateur, les modalités dans lesquelles se déroulera la médiation. L’objectif : contribuer au développement des modes alternatifs de règlement des différends.
Pour assurer l'efficacité des dispositifs de médiation, l’ordonnance instaure un certain nombre de garanties communes parmi lesquelles :
Le décret n°2015-282 du 11 mars 2015
Ce décret poursuit le développement des modes alternatives de règlement des différends (MARD) en introduisant une disposition particulière : depuis le 1er avril 2015, il n’est plus possible d’introduire une instance judiciaire sans justifier d’une tentative de résolution amiable du différend. A défaut de justification de cette tentative, le juge pourra désigner un médiateur ou un conciliateur.
Prise en application de la loi du 17 mai 2011 de simplification et d’amélioration de la qualité du droit, elle transpose une directive du Parlement européen et du Conseil du 21 mai 2008.
Ce texte définit la médiation comme tout processus structuré par laquelle deux ou plusieurs parties tentent de parvenir à un accord, en vue de la résolution amiable de leurs différends, avec l'aide d'un tiers. Les parties sont donc libres de déterminer, en accord avec le médiateur, les modalités dans lesquelles se déroulera la médiation. L’objectif : contribuer au développement des modes alternatifs de règlement des différends.
Pour assurer l'efficacité des dispositifs de médiation, l’ordonnance instaure un certain nombre de garanties communes parmi lesquelles :
- l'exigence d'impartialité et de compétence du médiateur
- la confidentialité de la médiation
- la possibilité pour les juridictions de rendre exécutoires les accords issus des médiations
Le décret n°2015-282 du 11 mars 2015
Ce décret poursuit le développement des modes alternatives de règlement des différends (MARD) en introduisant une disposition particulière : depuis le 1er avril 2015, il n’est plus possible d’introduire une instance judiciaire sans justifier d’une tentative de résolution amiable du différend. A défaut de justification de cette tentative, le juge pourra désigner un médiateur ou un conciliateur.